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Oser le changement pour le MEILLEUR.
Oser, quel mot puissant !
Osons nous aujourd’hui ÊTRE QUI NOUS SOMMES VRAIMENT ?
Lorsque l’être humain est ALIGNE, il est heureux, il dit ce qu’il pense vraiment et non pour vouloir plaire. De plus, il fait ce qu’il dit, ses actes sont en cohérence avec ses pensées et ses paroles. Lorsqu’un conflit existe entre ces trois plans, le corps le traduit par un DÉSÉQUILIBRE PHYSIQUE et/ou PSYCHIQUE et/ou ÉMOTIONNEL.
Pourquoi alors tant de RÉSISTANCE aux CHANGEMENTS ? Quelles en sont les raisons cachées ?
En voici, une liste non exhaustive…
PEUR du changement, du rejet, de l’abandon, de l’exclusion, de l’humiliation….
PEUR de l’inconnu, du manque de temps, d’argent, reconnaissance…
MANQUE de confiance en ses capacités, de courage, de volonté et persévérance….
LES CROYANCES et les CONDITIONNEMENTS : c’est trop tard, trop dur, trop long, trop contraignant, je suis trop vieux, pas assez ceci ou cela… Cela ne sert à rien… Il faut bien mourir de quelque chose… Un tel n’y est pas arrivé donc moi je n’y arriverai pas non plus….
Il est nécessaire de savoir qu’il y a également toujours des bénéfices secondaires à toutes situations aussi dramatiques soient-elles! Ne serait-ce ce besoin vital d’être aimé ou tout du moins d’être reconnu d’une façon ou d’une autre…
Il est nécessaire de garder en tête que toute situation aussi dramatique soit-elle présente souvent des bénéfices secondaires. Le besoin d’Amour et de reconnaissance qui nous anime tous nous rend parfois dépendant de bien des malheurs.
Et si on transforme cela en positif :
La vie mérite d’être vécue et non subie, il est temps et jamais trop tard pour un mieux être, pour moi et ceux qui m’entourent. Il est temps de retrouver ma responsabilité dans ce que je vis au quotidien et ce que je fais vivre aux autres de par des comportement destructeurs. La vie est trop courte : je fais mes propres choix et sort du lot soumis à la tendance. Je suis UNIQUE et veux profiter de cette chance. Pourquoi devoir penser, parler, stresser, manquer de temps pour l’essentiel et en prendre pour des choses ridiculement insignifiantes qui n’améliorent en rien ma vie et de plus en menacent l’équilibre…. Quand je fais le bilan, qu’est ce qui IMPORTE à MES YEUX: M’ÉPANOUIR en libérant QUI je suis, toutes mes envies enfouies ou RÉSISTER à tous MES RÊVES et vivre de culpabilité, remords et regrets.
VOUS AVEZ TOUT CE QU’IL VOUS FAUT POUR FAIRE FACE AU CHANGEMENT, il suffit de se le dire et d’expérimenter car chaque petit pas d’effectué démultiplie la motivation à EXPERIMENTER.
Le BONHEUR, est là derrière toutes vos fausses croyances, tous vos conditionnements, toutes vos peurs, tous vos échecs qui sont en fait un tremplin pour la réussite de votre VIE au sens le plus large du terme. Le Bonheur est en fait le chemin et non le but lui même. Le bonheur est de tous les instants quand on prend le temps de le remarquer. C’est la SATISFACTION d’être en cohérence avec sa petite voix intérieure? La voix du silence, dont vous avez baissé le son par le brouillard incessant de vos ruminations et pensées dévalorisantes.
Sortez de votre chrysalide, devenez papillon!
Du fatalisme à l’action.
La physique quantique réconcilie le côté pragmatique, rationnel de l’être humain de nos civilisations européennes à son côté ‘spirituel’ mis en berne et mis à mal parfois par des pratiques religieuses trop prégnantes et liberticides.
De manière implicite, elle confirme les écrits des civilisations anciennes ou orientales dans le sens où l’être est remis au premier plan et se trouve être à l’égal de la force créatrice de tout ce qui est. Il est doué du même pouvoir que celui, ce qui l’a créé. De nombreux films nous rappellent cette possibilité, Star wars, Matrix et bien d’autres.
Cette vision où POTENTIEL et UNITÉ sont les deux facettes de qui nous sommes, rassure l’être humain abandonné jusqu’ici à son sort. Il passe d’un destin sur lequel il n’a aucune emprise à une vie dont il est créateur rejoignant simultanément un état d’unité avec le tout après avoir expérimenter dans la solitude et souffrance une phase de séparation.
De la compétition, il parvient alors à quelque chose de plus doux pour lui et ceux qui l’entourent. De l’immobilisme du ‘JE’ il opte pour la synergie du ‘NOUS’ et chaque partie en tire la substantifique moelle, l’essence, la saveur, les bénéfices les plus remarquables.
Sortez de votre chrysalide, devenez papillon!
De la compétition à la coopération.
Notre civilisation occidentale a depuis des siècles maintenant, misé sur la compétition comme moteur de progrès et avancées dans tous les domaines.
Nous sommes contraints de constater que malgré toutes les percées technologiques et leur lot de consolations avec la kyrielle de biens de consommation en tous genres, l’homme est aujourd’hui de plus en plus malade, de plus en plus insatisfait et de moins en moins heureux ! Pour la première fois la génération des 40.60 ans a une espérance de vie inférieure à la précédente, cherchez l’erreur. Il n’y a jamais eu autant de suicide que durant ces dernières années, le chômage fait rage, la violence, la faim là même où on ne la suspecte pas !
A quoi sert donc cette compétition si ce n’est qu’à positionner les uns vis à vis des autres dans une course effrénée au toujours plus … Du plus intelligent au plus beau en passant par les plus riches, les plus gentils, les plus méritants, les plus instruits, les plus généreux, les plus solvables, les plus chanceux, les plus déterminés, les plus présentables, les plus politiquement corrects … Mais cette liste hélas induit par dualité celle des moins, les moins intelligents, les moches, les pauvres, les méchants, les moins méritants, les incultes, les moins généreux, les moins solvables, les poissards, les indécis … Nous en arrivons à dresser ceux qui seraient supérieurs à d’autres qui du coût seraient inférieurs ! Ce positionnement soumet l’homme aux jugements incessants, à l’évaluation castratrice, passant d’une catégorie sans jauger de l’intérêt de l’équilibre.
Il joue la division alors qu’il est intrinsèquement fait pour l’union et l’entraide. Par analogie, imaginons toutes les cellules de notre corps rentrer dans ce genre de considération. Comment finit l’épisode ? En catastrophe ! La maladie s’installe car il n’y a plus de dialogue intelligent entre toutes les parties. Le désordre règne,et les fonctions ne sont plus assurées … Le corps en arrive même à oublier la programmation initiale induite par les instructions des noyaux jusqu’à en arriver aux maladies auto immunes où le corps s’attaque à lui même voire jusqu’au cancer où les cellules malades se multiplient alors qu’elles sont régies en temps normal par un processus biologique : l’apoptose détruisant toutes cellules non conformes à la survie de l’organisme … Ces aléas biologiques ne seraient ils pas un message du corps afin de ramener le vivant à se réunir ? Réunir enfin sa vision profonde de lui même à celle qu’il montre dans la réalité quotidienne et qui n’est qu’ apparence car soumis à cette course folle entre individus ? La question mérite d’être posée. Elle fait d’ailleurs depuis des années l’objet d’études et les résultats sont criants de vérité.
Il est montré que lorsque l’homme rejoint des conditions de paix intérieure, de calme, de soulagement, de confiance, d’intégration, de gratification par l’intermédiaire d’un regard intérieur et extérieur positif où l’égo se tait, le corps revient à l’équilibre et l’homéostasie ou capacité d’autoguérison reprend ses droits. Lorsque la personnalité des uns et des autres s’effacent au lieu de s’affirmer dans des camps belliqueux opposés, les conflits s’estompent et les cœurs que nous sommes s’expriment alors laissant la compréhension et la richesse des uns compléter celle des autres.
Cette logique de paix doit commencer par soi même, comment vouloir et exiger cet état à l’extérieur, dans nos familles, nos villages, notre pays, le monde si à titre individuel, nous sommes incapables de faire régner l’harmonie en nous mêmes ? Soyons comme nous le conseille Gandhi, le changement que nous voulons dans le monde !
D’un monde dit civilisé où tout part à volo, nous sommes obligés d’ouvrir les yeux sur un modèle qui arrive à bout de souffle avec toutes ses incohérences et ses inégalités. Des schémas où l’intellectuel a été validé comme vecteur de tous les possibles sont aujourd’hui démantelés et nous voyons que des valeurs comme l’altruisme et la compassion sont bien plus efficaces que la rentabilité et l’ignorance.
Toute force fait appel à une contre force d’où opposition, sachons dès aujourd’hui mettre ce rapport en sommeil et réveiller celui qui remet le cœur au centre de nos préoccupations. Osons montrer notre vrai visage, celui qui a toujours été là mais qui a peu été écouté, celui de notre vraie nature humaine, celui de notre HUMANITÉ qui rime avec HUMILITÉ.
Sortez de votre chrysalide, devenez papillon !
De la réaction à l’acceptation.
Nous arrivons à l’incohérence quand nous projetons en nous mêmes, au sein de nos propres cellules, dans les tissus de notre corps, les discordances que nous ressentons dans notre réalité quotidienne.
Pourquoi tant de souffrance, de signaux menant à autant de douleurs et déséquilibres physiques dans notre univers ?
Il est urgent de se poser et étudier ce qui est à la source de toutes ces divergences !
Si nous partons du postulat de l’hégémonie de la relation supériorité/infériorité, nous engendrons un plan de croissance où la différence dans son sens péjoratif est la graine de toutes les discordes et conflits. De concert avec cette semence poussent celle du rejet de l’autre dans son unicité et valeur personnelle et celle du refus de sa dignité. L’orgueil de l’égo repoussent alors l’intelligence innée et intuitive du cœur en action. Cet espace où tout est lumière, est malmené dans les deux camps. Les émotions surgissent et la tempête fait rage, certains écrasent, d’autres plient et dans aucun cas ne s’harmonisent.
Ce qui a été mal vécu donc mal ressenti précédemment refait surface sous forme de mémoires qui s’expriment sans raison apparente. Là, c’est le raz de marée, et tout devient incontrôlable. Le souffle arrache tout sur son passage, les pensées assassines inondent les berges de leurs mots: M O T S et laissent comme empreintes les maux M A U X. Le mal est ainsi fait et peut se reproduire jusqu’à ce que les racines émotionnelles de ce cataclysme ne soient acceptées, entendues et rangées délicatement sur les étagères de nos souvenirs.
» C’est plus fort que moi « disent certains, » je n’y peux rien » font remarquer d’autres … Je ne contrôle rien … Ces personnes subissent le poids d’un passé mal géré en temps réel et sont malgré elles conditionnées à réagir encore et encore de la même façon …
Et si nous nous donnions la chance, l’opportunité d’un scénario plus constructif et plus épanouissant pour soi et pour ceux avec qui nous sommes en relation?
La compréhension d’une écoute à travers nos ressentis et l’acceptation en sont les maîtres mots.
Et si ces différences visibles : talents, compétences, savoirs, comportements n’étaient que prétexte à saisir notre unicité et le besoin que nous avons de nous exprimer ensemble pour le bien être et la croissance individuelle de tous.
Si nous acceptions la différence de l’autre comme un complément de ce qui nous manque si cruellement aujourd’hui alors que tout est à notre portée ? Et ci ce manque c’était l’autre, les autres sans lesquels il nous est impossible de se réaliser pleinement?
Et si nous n’étions complets qu’à partir du moment où nous acceptions le TOUT, qui est comme nous dit la physique quantique, à l’image de chacun et inversement. Nous sommes des êtres holographiques où tout est inscrit, il suffit par conséquent de le reconnaître en l’autre, en tout ce qui n’est pas nous.
L’autre n’est que notre miroir, est une partie de nous que nous refusons et ne voulons pas voir.
S’accepter soi est donc accepter l’autre et accepter l’autre c’est s’accepter soi. La physique veut que les opposés s’attirent, accepter la différence est par conséquent source d’équilibre et de stabilité. L’acceptation de l’autre chasse alors la peur et par voie de conséquence la réaction. Nous devenons dans ce sens des humains capables d’agir ensemble.
Sortez de votre chrysalide, devenez papillon!
Du contrôle au lâcher prise.
L’être humain vit aujourd’hui dans une situation d’hyper contrôle.
En premier lieu, il se trouve être dans un contrôle vis à vis de soi pour obtenir de l’extérieur : Attention, acceptation, reconnaissance dans la finalité d’être aimé. Il veille à ce qu’il dit et fait … En couple, en famille, au travail …. Dans un premier temps, il contrôle les autres inconsciemment via des comportements dont les raisons demeurent être celleS de rentrer en relation, en fusion et le rester. Il s’agit de scénarios qui oscillent entre le « je fais pour l’autre »ou à l’inverse « j’attends de l’autre » ou » je fais comme l’autre ». Toutes ces polarités s’articulent autour du même besoin à savoir, la présence de l’autre pour exister. L’essentiel étant de passer de l’une à l’autre avec aisance et sans contraintes.
La peur se cache derrière ces programmes ancrés dans la psyché depuis la plus tendre enfance. A savoir que cette peur crée un stress, utile à la base mais qui peut devenir handicapant car génère des stratégies de combat, fuite ou inhibition.
A un troisième niveau, cette peur est entretenue par la pression des contrôles mis en place par la société dès notre entrée dans ce monde, de la surveillance médicale, à l’évaluation permanente du primaire, à la faculté ou aux grandes écoles, du monde du travail, du contrôle d’identité à celui de la vitesse, de l’alcoolémie, de la voiture. De la surveillance de la météo à celle que nous subissons désormais dans les rues, les parcs, les lieux publics ou privés …
Ce qui fait de l’être humain, un être en peur de perdre sa santé: sa vue, sa mémoire … son permis, sa voiture, sa maison, ses biens, ses proches, ses liens, sa vie !
Tout cela est renforcé à un 4ième plan par les médias qui s’empare de ce sentiment de crainte, d’angoisse pour vendre plus? toujours plus. Même le cinéma, la littérature, les jeux vidéos ont trouvé dans ce créneau une possibilité de faire de nos loisirs un moment où encore règne la violence vectrice de peur, stress, anxiété.
Où est donc la porte de sortie?
Dans le moment présent ! En effet, la peur c’est envisager à partir d’hypothèses fondées sur un évènement antérieur douloureux une situation dans le furur qui le serait tout autant si ce n’est davantage car accumulation.
Le flot d’informations et de sollicitations via les portables est aujourd’hui à son paroxysme. Cela nous extirpe de la réalité vécue dans le présent.
Le bien être va passer par l’extinction de tous ces voyants lumineux en alerte pour revenir dans un environnement où l’homme va retrouver le sens en réutilisant ses sens. Ces sens qui permettent de saisir et interpréter la réalité vécue et non celle vécue par d’autres ou imaginée. Il s’agit ici de respect de soi et non d’égoïsme. Se débrancher de cette source intarissable de peurs afin de retrouver et se laisser guider par cette petite voix intérieure que vous n’entendez plus à force du brouhaha, de ruminations diverses qui vous envahissent. Éteindre ces capteurs qui mettent le feu aux poudres afin d’entendre cet enfant intérieur oublié qui lui est confiant et optimiste car il sait qu’en étant vous même, vous avez tous les pouvoirs et surtout essentiellement celui d’être heureux, heureux de l’intérieur car il n’y a pas d’autre chemin véritable pour accéder au Bien Etre.
Une fois cette peur éteinte, le bouclier tombe et vous pouvez alors expérimenter la Compassion, la Bienveillance, l’Altruisme qui sont les remèdes les plus forts pour nos corps, familles, sociétés en crise de SENS.
Le plus beau message soutenant l’HUMANITE est d’une simplicité déconcertante :
« Penser à faire à l’autre
ce que tu souhaites qu’il pense à te faire,
ce dans la plus stricte humilité »
Je mets à votre disposition plusieurs outils afin d’y parvenir.