Actuellement, il est difficile pour tout un chacun de se faire une idée vraiment précise sur quoi se baser afin de s’alimenter de manière à satisfaire au mieux ce besoin fondamental qu’est celui de se nourrir et pourvoir à nos activités quotidiennes.
Il faut tout d’abord se rappeler que ces aliments viennent apporter dans un premier temps l’énergie nécessaire à notre métabolisme de base, à savoir toutes ces fonctions corporelles qui soutiennent la vie au sein de notre organisme. Puis, ils fournissent le carburant utile à notre activité physique et mentale, émotionnelle dont l’équilibre est en lien avec la qualité et la quantité de ce qui est absorbé.
Il est donc important d’étudier judicieusement quelle nourriture nous désirons fournir en vue d’une santé globale optimale.
Les organes de notre corps devraient éveiller notre curiosité quant aux possibilités qui sont les siennes en terme de traitement des aliments ingérés. Que dire de la maladie de la vache folle quand il lui a été donné de la farine alors qu’elle est herbivore ? Je vous laisse en réflexion quant à notre propre régime alimentaire … Pourquoi avons nous de si petits reins et de si longs intestins, pas de gésier ?
Aujourd’hui, pour la majorité de la population, nous parlons de surconsommation et de malbouffe! Nature, qualité, quantité, tout est sans doute à réévaluer afin de retrouver un métabolisme en adéquation avec nos besoins.
Ce qui est ignoré de la plupart est le fait que la nourriture que nous absorbons n’est pas que physique et que celle que nous absorbons de façon bien plus subtile est bien plus destructrice encore que la première évoquée. Nous sommes des postes émetteurs récepteurs électro magnétiques et enregistrons donc toutes les fréquences que sont les émotions, intentions, pensées ! Il est primordial de s’en rendre compte afin de gérer toutes ces entrées au mieux de nos possibilités.